Ben moi ça me scie.
Un pataquès sans nom pour une aussi grande et profonde réforme de l'école vaudoise, quand on sait à quel point l'enseignement primaire et secondaire va mal dans le canton. J'imaginais avec un brin d'utopie que les élus grassement payés pour mettre au point les stratégies éducatives de nos enfants auraient l'amabilité de s'attaquer un peu plus à la base du problème.
C'est marrant comme on parle beaucoup moins de la fermetures des classes, des diminutions des appuis, de la segmentation des compétences.
Certainement que la masse de papier nécessaire à poser tous les vrais problèmes est supérieure à celle utilisée par les écoliers pour doubler leurs cahiers.