Médecins....
Posté: Jeu Mar 14, 2013 11:16 am
Le 29 janvier, je suis tombée dans les escaliers. J'ai tordu violemment la cheville en loupant la dernière marche de l'escalier.
Une entorse étant une entorse, je ne suis pas allée consulté de médecin. Repos et anti-inflammatoire, voilà le cocktail pendant les trois-quatre premières semaines.
Un mois après, le 25 février, je suis quand même allée voir l'osthéo car ça n'allait pas vraiment mieux. Toujours beaucoup de douleurs, surtout le soir... Elle m'a envoyé faire une radio.
Le jour-même, je vais chez mon médecin traitant qui ne touche même pas ma cheville, fait une radio et me dit "J'ai un vieil appareil, on voit pas tout mais je ne pense pas qu'il y ait de fracture". Il me renvoie donc à la maison avec du gel anti-inflammatoire et des anti-douleurs. Je ressors frustrée de ce rendez-vous pas parce que je voulais absolument un traitement mais parce qu'il n'a même pas pris la peine de m'ausculter. OK, je suis pas médecin mais y'a quand même une base dans le traitement de patient non ? Juste au moins regarder la zone concernée ou alors, je suis peut-être à côté de la plaque
Ce jour, toujours pas de changement. Le matin, je marche normalement, le soir, je ne pose presque plus le pied. Hier soir, j'étais assise en tailleur (donc le pied posé sur le côté extérieur) et Ylan me tombe sur le pied. La douleur a été tel que j'ai cru versé sur le moment.
Refusant de retourner chez mon médecin, je suis allée dans un centre médical où, tout d'abord, ils ne voulaient même pas me recevoir puisque mon médecin traitant avait déjà fait une radio. J'ai insisté et le médecin m'a finalement vu trois minutes :
1mn pour ouvrir le dossier
30 secondes, le temps de tourner mon pieds dans les quatre directions
30 secondes pour me dire que : "Mais c'est une entorse madame, il faut être patiente ! En plus, comme vous êtes en surpoids...."
1mn pour écrire ce qu'il venait de dire pendant que je remettais mes chaussures et que je reparte comme je suis venue.
Je ne suis pas une adepte des médecins, je ne cours pas consulter pour rien mais là, je crois que je suis définitivement dégoûtée de la prise en charge des patients.
Une entorse étant une entorse, je ne suis pas allée consulté de médecin. Repos et anti-inflammatoire, voilà le cocktail pendant les trois-quatre premières semaines.
Un mois après, le 25 février, je suis quand même allée voir l'osthéo car ça n'allait pas vraiment mieux. Toujours beaucoup de douleurs, surtout le soir... Elle m'a envoyé faire une radio.
Le jour-même, je vais chez mon médecin traitant qui ne touche même pas ma cheville, fait une radio et me dit "J'ai un vieil appareil, on voit pas tout mais je ne pense pas qu'il y ait de fracture". Il me renvoie donc à la maison avec du gel anti-inflammatoire et des anti-douleurs. Je ressors frustrée de ce rendez-vous pas parce que je voulais absolument un traitement mais parce qu'il n'a même pas pris la peine de m'ausculter. OK, je suis pas médecin mais y'a quand même une base dans le traitement de patient non ? Juste au moins regarder la zone concernée ou alors, je suis peut-être à côté de la plaque
Ce jour, toujours pas de changement. Le matin, je marche normalement, le soir, je ne pose presque plus le pied. Hier soir, j'étais assise en tailleur (donc le pied posé sur le côté extérieur) et Ylan me tombe sur le pied. La douleur a été tel que j'ai cru versé sur le moment.
Refusant de retourner chez mon médecin, je suis allée dans un centre médical où, tout d'abord, ils ne voulaient même pas me recevoir puisque mon médecin traitant avait déjà fait une radio. J'ai insisté et le médecin m'a finalement vu trois minutes :
1mn pour ouvrir le dossier
30 secondes, le temps de tourner mon pieds dans les quatre directions
30 secondes pour me dire que : "Mais c'est une entorse madame, il faut être patiente ! En plus, comme vous êtes en surpoids...."
1mn pour écrire ce qu'il venait de dire pendant que je remettais mes chaussures et que je reparte comme je suis venue.
Je ne suis pas une adepte des médecins, je ne cours pas consulter pour rien mais là, je crois que je suis définitivement dégoûtée de la prise en charge des patients.