J'y pensais l'autre jour je me disais qu'une partie de moi aurait voulu encore deux enfants mais l'Homme ne veut pas en entendre parler et ça restera donc comme une idée vague: ça aurait pu être si ... mais comme avec des si on refait le monde en deux secondes ben voilà quoi. Ensuite lorsque je suis objective je me dis que mm si je n'ai que 2 enfants (qui comptent parfois pr 6 vu leur sur-activité presque permanente), j'ai eu 4 débuts de grossesse (2 bb vivants) et 2 grossesses terriblement difficiles dont l'une s'est soldée par une ITG à 24SA et l'autre par un accouchement prématuré à 30SA où l'on a bien failli y laisser notre peau tous les deux... Un peu comme Kuona, le stress de la grossesse, l'allaitement, les nuits blanches les maladies incessantes pdt les premières années pèsent aussi trop lourdement ds la balance de mon envie... Et surtout j'ai aussi envie de retrouver une vie de femme et non presque uniquement de mère...
Mes enfants auraient la mm différence d'âge avec bb que les tiens et pr moi de les voir devenir autonomes et moi de retrouver des activités comme partir en vacances, nager, marcher en montagne et skier avec eux ss que je doive ronger mon frein à les attendre ben c'est un luxe qui serait fortement compromis par l'arrivée de bb3... Bon j'ai aussi une excuse de date limite puisque je suis vieille ça ça aide aussi à se faire une raison
J'ai une connaissance maman d'un ptit de 3 ans qui est arrivé par surprise lorsque son Grand avait presque 6 ans avec une grande soeur de 9 ans devant et qu'elle n'était plus toute jeune, total elle galère à fond niveau patience et mm si elle aime son enfant comme les deux autres elle m'a dit que si elle avait pu décider, elle serait restée à 2...
Je pense que ça vaut la peine de creuser le pourquoi de cette envie si c'est une envie réelle ou simplement pr combler un "vide" éventuel ou de se rendre compte qu'on doit passer à autre chose ds notre vie de femme (qui est un sacré pas qd mm)...
"Découvrir ses faiblesses devant tous les amis donne de la force. Quand on essaye de planquer son côté minable, on vit dans la terreur d'être démasqué. Maintenant je me sens invincible et d'une très grande gentillesse" Hélène Bruller